. . . de dire ça, mais chaque fois que je prends en main ou plutôt que ça me tombe dans la main avant de me tomber des mains, un roman d'Orsena ou de Nothomb, ça m'irrite, pour l'un cet humour forcé obligatoire à chaque phrase et pour l'autre ce fantastique exorbité même produit d'un démarrage à l'ayahuasca, mais vous avez quant à vous tous les droits.
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