vendredi 3 août 2018

colonnes

Les seules dont je parlerai aujourd'hui sont les colonnes optiques créées sur toile par celui que j’appellerai toujours Dare, Dare Dovijenko Bozanic, peintre croate devenu péruvien depuis ses années de jeunesse à Lima.
C'est à ma connaissance une de ses dernières trouvailles de magicien capable parfois d'  hypersurréalisme.

Mais regardez plutôt.


Pour bien comprendre et se laisser transporter par ces images dont l'évidence est archi-trompeuse, il faut savoir que Dare est né à Split, cette villeû construite à l'intérieur d'un palais, celui que Dioclétien, l'empereur qui sauva, illusoirement sans doute, pour un temps, l'Empire au moment de sa fatale déclinaison et qui fut, dans cette longue lignée de despotes, le seul à décider d'abdiquer, un palais qui rassemblait, vanité des vanités, des trésors artistiques venus de tout le monde romain comprenant l’Égypte et ses sphinx et la Grèce et son . . .

. . . insurpassable art des colonnes,. . . colonnades et . . . péristyles . . .