vendredi 22 juin 2018

Le S de Scorpion acculé.

Image terrible et mythique. Surfaite ? Superbe, si Sombre.
Titre d'un livre à coup Sûr . . . oublié, au moins de moi, Sauf ce titre flamboyant.
Oubli total, en ce qui me concerne, des analyses qu'il contenait. Quasi Sataniques ?

Peut-être quelqu'un parmi ces lointains lecteurs bénévoles et imprévisibles que j'atteins, je me demande toujours comment, par le miracle incompréhensible et expansif du net, en Argentine ou aux Philippines . . . avec ces considérations si peu générales, un peu quant-à elles et marmonnées en barbe, pourra-t-il me dire qui était l'auteur de ce livre en portugais je crois qui devait s'appeler :

O Ecorpiaõ encurralado (traduit de l'espagnol peut-être, et où l'avais-je trouvé ? quelque lieu aussi saugrenu que la librairie française de Buenos Aires ?) ayant  cette image pour titre d'un livre dont j'ai un peu oublié le contenu et que à coup sûr, d'un déménagement l'autre, j'ai semé ou perdu.
Un livre prenant à bras le corps, ça je m'en souviens, comme Picasso quand il dessine des toros de combat, l'univers de Julio Cortazar.

Je hais les voitures avec des scorpions dessinés dessus ou encore plus les types tatoué sur les biceps avec cette bête.
Je hais cette image rare, banalisée et terrifiante, de l'arthropode arachnide s'auto-liquidant en suicide rituel quand il est pris dans un cercle de feu.
Peut-être, parce que né en novembre le jour anniversaire de la Révolution russe dite d'Octobre (décalage du calendrier), j'ai dû subir les Sarcasmes injonctifs des astrologues voulant faire de moi un parfait Sujet entrant au Signe du Scorpion ascendant Scorpion, par surcroît, donc pur et dur.

Alors que Cortazar, dieu de dieu, c'est pas ça ! Quelle image tocarde !

Mais que pouvait dire ce livre que j'ai parcouru ? M'était-il tombé des mains ? 
(A suivre).

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