Quelle que soit l'affaire il y a de nombreux points communs, surtout quand c'est épineux ou au moins problématique. Une affaire c'est toujours un nœud gordien même si vu de loin on peut penser que c'est facile comme de faire glisser un nœud coulant. Car il y a toujours des embrouillaminis qui se produisent ne serait-ce que à cause des barbillons de la ficelle ou de la corde qui se désenroule et se désentortille sur elle-même alors que son tressage ou sa torsion auraient dû tenir le coup comme il était prévu.
Voilà le point, rien n'est prévisible, du moins à notre échelle où nous ne percevons que des portions restreintes du spectre des sons, des couleurs, du problème et c'est là qu'intervient la nécessaire et perpétuelle improvisation. O jeito à la brésilienne. C'est là que je voulais en venir.
Voilà la découverte, déjà connue certes depuis, dans, pendant et en vraie règle du jeu, les cours de récréation et même comme je l'expliquais il y a peu dans cette société en miniature qu'est déjà une salle de classe, dés la maternelle. Sous la démarche rationnelle se tient un cheminement incorrect, raccourci illégal, sentier hasardeux mais quelquefois nettement plus court et efficace, qui permet d'atteindre le but trop éloigné par les voies prescrites officiellement. Je le savais déjà depuis longtemps mais on n'avait eu de cesse, d'autant que j'avais des parents enseignant et vertueux, assez à cheval sur les principes, que de m'inculquer comme on graverait dans la chair, comme on sculpterait le geste, des conduites et des propos droitement inspirés du modèle idéal de nos sociétés civilisées et dominantes :
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