. . . c'était un hôtel gigantesque étiré sur un grand territoire dans les dunes où nous avions l'habitude de nous arrêter quand nous allions nous-mêmes, ou pour accompagner des visiteurs venus de Paris, en allant à Paracas et Nazca voir les site et les musée si extraordinaires de ces civilisations du désert obsédées par l'eau, les dieux de la pluie, les créatures marines. les canaux, les astres, les signes visibles du ciel.
Il y avait là quelques cages avec des oiseaux et des animaux dont un bandit malin coati à très longue queue très joueur qui à force de lui parler, de lui tendre la main, ce qui était prohibé, avait fini par nous connaître et poussait du bout de son très long nez flexible de petits cris en nous voyant revenir et lui porter tel ou tel autre fruit de ses préférences, dont les maracujas.
Il y avait aussi hélas un dromadaire que le gardien faisait, devant les touristes, fumer en machouillant son cigarillo et à propos duquel notre action militante auprès du directeur de ces installations, avait fini , au moins en apparence et quand nous étions là, trop rarement, par avoir raison de ces stupides aberrations.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire