vendredi 8 août 2025

U comme soleil couchant des Utopies.

 . . . . bien sûr il y avait de la . . , ou quelque . . .  naïveté,  sans doute, de fait, une HéNAURME dose,  à croire qu'on pourrait sinon créer un homme nouveau, du moins créer les conditions de nouveaux rapports de développement égalitaires dans tous ces socialismes du XIXe siècle qui ont propulsé le désir de révolution de l'anarcho-syndicalisme au matérialisme historique en bifurquant vers la panoplie des terrorismes existentiels, quasi métaphysiques ou érigés en doctrine d'embryon d'Etat. . . .

. . . .cependant,  . .  ne plus voir là ou à leur suite . . . . que dystopie, l'horrible dystopie qui s'en prend comme un virus à tous les plans de progrès et de changements, ce n'est pas sombrer dans un sommeil de cauchemar, c'est hélas s'en prendre au fonctionnement bien réel du monde humain, peu avare d'hécatombes, de catastrophes prévisibles, de plans quinquennaux provoquant la morbidité, l'aliénation, la déshumanisation. . . . . est-ce pour autant le fin mot de l'histoire ?

Avons-nous seulement gagné en lucidité, en praticité, en pragmatisme, en utilitarisme . . . .

ou seulement en court cynisme dévastateur ?

[Voici donc ma 666ème chronique atteinte après avoir renoncé à garder présents sur FB, 666 amis, comptés au plus près.]

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