mardi 22 décembre 2020

K double.

 Pendant que nous déblatérions sur n'importe quoi à l'infini . . . les Amérindiens, lors de la "découverte" de leur continent par les Européens ont toujours pensé que nous étions des perruches, des bavards incurables. (Et encore un peu partout ça continue de plus belles : sur les masques oui . . . les masques non . . . et confinement à la con, et tout devient sujet de polémique, certes, mais . . . faute de mieux fallait bien calmer les grégaires, moutonniers Panurges du net et des rues en les occupant à des prétendus "débats" . . .), 

d'autres travaillaient archi-dur et sous les quolibets et sanctions de leurs collègues et patrons à des recherches muettes sur l'infiniment petit. 

Ainsi Katalin Kariko.


Avait-elle raison de s'obstiner ?

Fallait-il vraiment tailler, élaguer, replanter, greffer et engraisser ces morceaux buissonneux d'ARN ? 

Non, je ne vous parle pas d'ARNold et de tailler des abdo, en surface de peau, 

mais de retailler en labo pour le rendre bon messager l'acide ribonucléique. Lui faire envoyer des messages à nos cellules. Par exemple leur dire de se défendre contre un nouvel ennemi qui autrement risque de les surprendre. 

Et si, dans l'usage qui nous intéresse, on appelle ça un vaccin, ça n'a plus rien à voir avec Pasteur. Nous allons bientôt le savoir si ça valait la peine ou si au contraire c'était la "mutation de trop".  

Le fait est que ça pourrait être, si ça marche, un sacré cadeau de Noël à l'humanité qui collée à la paroi de ses limites et aux obstacles qu'elle débusque, dévissait dur.

Encore un sacré coup porté aux obscurantistes de tout poil.


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