lundi 9 avril 2018

Animaux asservis.

Quand je dis à mes amis que je n'aime maintenant les animaux que sauvages . . . . après avoir eu comme d'autres, chats, chiens, perroquets, etc . . .  me prennent pour ce que je suis : libre de beaucoup d'attaches, pas seulement pour moi.
Toutes ces vidéos de jeux avec des animaux totalement ou partiellement domestiqués me font trembler, me font peur, me hérissent.

Comment ceux qui s'en réjouissent ne voient-ils pas que c'est leur propre image-reflet qui les amuse : celle d'êtres asservis, muselés, entravés.
Quand je vois ces étiquetages que subissent les derniers représentants de certaines espèces, sous prétexte de recensement scientifique et de protection, j'ai un haut le cœur. 

Le pire que j'aie vu dans ce domaine :
                                                        les éléphants de mer encore présents sur quelques îlots rocheux face à Montevideo marqués de numéros et de signes de reconnaissance au fer rouge par des chercheurs-protecteurs tellement imbus de la supériorité de notre culture concentrationnaire et cheptellesque d'abattoirs de masse qu'ils ne comprenaient pas qu'on en soit choqué. 

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