mercredi 4 avril 2018

Rêve absurde, mégalo, rigolo.

J'ai fait un rêve absurde, il est clair que mon inconscient se fout de moi et de ma mégalomanie.

C'est bien le rêve le plus absurde et mégalo qui me soit advenu, au moins dont j'ai le souvenir.

Chacun des articles que j'entame ici /
et qui restent ici à moitié en suspens, souvent non terminés, dans cet analphabio-machin qui n'a pas de nom définitif, ce truc bizarre écrit lettre à lettre, mot par mot plaqués là au petit bonheur, devait être, tenu d'une main et tapé de l'autre sur les touches d'un mini-portable ou d'une tablette, allongé sur mon lit dans ce rêve où je me voyais /
ne devait être . . .  c'était une obligation, que le début d'un plus long texte, souvent un roman à écrire ensuite, en somme un simple " incipit ".

Donc, dans mon rêve, bien que mégalo je me marrais et demandais :
-  Oui mais si c'est moi qui dois faire ça, au train où c'est parti, même avec un article tous les deux jours dans dix ans ça fera au moins 3800 entrées à remettre dans l'ordre alphabétique et à prolonger par au moins 180 ou 200 pages pour être un minimum sérieux si c'est pour un roman, alors ? Si je dois tout écrire moi-même . . . . ben dame ! J'aurais dû commencer avant !

Alors du haut du ciel une machine sardonique cachée dans les nuages, genre haut-parleur de gare à la voix encourageante dans les pires circonstances,  me répondait :

-  Pas de problème, si vous tenez le rythme, vous aurez une rallonge de 36 minutes pour chaque page rédigée.

J'aurais pu mal le prendre mais je sais qu'en me réveillant et après avoir fait le calcul, ce matin là j'ai décidé de continuer.

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