Ceux qui lisent (ont lu) l'audacieuse et incroyable revue Marsam ( Marsam.graphics ) qui s'est d'abord présentée comme un atelier de bande dessinée en rapport avec Angoulême, ville de 50.000 habitants citée dans une lettre datée de la fin du quatrième siècle par le poète Ausone alors qu'elle était déjà une forteresse, située sur l'axe Paris-Bordeaux-Bayonne, capitale mondiale de la BD culminant à 133 mètres mais qui se trouve être beaucoup plus que ça . . . et notamment un lieu d'incroyables rencontres, ont fait connaissance avec le fils de Dio, un épisode où il apparaît entouré de comparses dans une aventure qui le mène, entre autres lieux, de Barcelone au Cap dit Creux en région frontalière avec la France, haut lieu de magie et vénération dalinienne, mais personne n'a réellement connaissance de son père autrement que par ouïe dire.
Cette histoire, celle de Dio lui-même, commence par un prénom rare.
Bien sûr, je n'y étais pas mais le fait m'a été rapporté par plusieurs témoins compagnons de sa mère, anciens partisans aujourd'hui tous disparus.
Si Dio s'appelle Dio c'est par référence ironique à Dioclétien, l'empereur qui décida le partage de l'Empire Romain en Empire d'Orient et Empire d'Occident avant de se retirer dans son palais maritime, ville-palais qui se visite encore puisqu'il est devenu le cœur, le lieu le plus vivant de Split, transformé longtemps après la mort de Dioclétien, en refuge pour les premiers habitants de la future ville dans ses murs toujours debout.
En effet, ce n'est un secret pour aucun de ses amis, Dio est un "enfant trouvé". Trouvé où ?
Je vous le donne en mille.
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