. . . . quand j'ai gardé cette place vide je ne sais plus ce que je voulais y dire et pourquoi je ne l'avais pas remplie.
Peut-être pour remercier ces cinquante lecteurs ou plus ou moins selon les jours (il serait grand temps) qui font finalement des centaines de lectures et leurs amis inconnus qui viennent tantôt, régulièrement ou pas, et parfois quand on y pense . . . dans le texte ou pas . . . traduit ou intraduisible car époumoné et lancé à l'oreille, du monde lointain, ici et là pour lire ces billevesées, ces trucs jetés au jour le jour, traversant cet espace mal situé que j'ai entre le cerveau et l'oeil et aussi un peu derrière chaque oreille pour faire stéréophonie et qui passe finalement par le bout de mes doigts qui tapent et bien sûr par tout le corps et remontent de la terre en traversant viscères et poumons, souffle surtout . . . . . . . pour y arriver jusqu'à vous.
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