Pourquoi Rio de Janeiro est-il ou est-elle (rio masculin en portugais et rivière féminin en français) une ville aussi fantasmatique ? Pour tout le monde je crois et encore plus pour moi.
. . . . [ et s'il vous plait, pas de Djaneiro, plutôt un "J" très doux comme en français, j'en ai marre de ces hypercorrections fausses et d'entendre "Dja" au lieu de "ja" . . . comme d'entendre en espagnol Migüel avec un U accentué en "ou" alors qu'il faut dire Miguel comme en français le U ne se prononçant pas ! ]. . . .
Bon, ceci dit, j'entends bien que Rio est une des plus belles et surprenantes villes du monde et que en ce qui me concerne c'était mon premier poste en étranger outremer et donc un éblouissement après n'avoir franchi les frontières de l'hexagone restreint déjà un peu parcouru et vécu en divers points, que pour aller à Bruxelles, en divers points d'Espagne, dont les Baléares et Santander, et au plus loin et plus différent, en Tunisie.
Rio, la Rivière de Janvier des premiers conquérants tient son attrait d'une position géographique exceptionnelle entre baie et baies, grande baie, comme une immense embouchure et plus petites baies découpées sur un océan gardant de hautes vagues malgré ses enfoncements en terre, et d'autre part monts couverts de forêts primitives, végétation exubérante, parsemés de "mornes" ces pains de sucre de granit abrupts et arrondis ou formant table ou enclume et dominant largement la baie.
Et donc tout au long de cette immense ville étirée sur l'océan, plages et plages jusqu'à l'infini vers le Sud.
Bien sûr, samba, chansons universelles, carnaval tout ça, mais pas seulement.
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